Sphecodes pellucidus
Smith 1845
SYNONYMIE. = Sphecodes pilifrons Thomson, 1870; = Sphecodes brevicornis Hagens, 1874; = Sphecodes volatilis Smith, 1879; = Sphecodes pellucidus var. algirus Alfken, 1914; = Sphecodes pellucidus var. hypridus Blüthgen, 1925; = Sphecodes pellucidus var. niveipennis Meyer, 1925.
DIAGNOSE. Espèce moyenne à grande. Mâle à gonocoxites non déprimés, les gonostyli de forme caractéristiques, les taches feutrées des flagellomères bien étendues. Femelle à vertex rugueux non ponctué, la ponctuation du scutum relativement forte et dense, les points égaux aux interpoints. Elle diffère de S. ephippius par la base déclive du T1 à soies plus longues; de S. reticulatus par le T2 peu ponctué; des autres espèces souvent plus petites par le pygidium plus large.
DISTRIBUTION. Europe jusqu'en Scandinavie (66°N), jusque dans l'est de l'Asie et l'Afrique du Nord.
HABITAT. Surtout la Basse et la Moyenne Belgique, souvent sur sols sableux.
Phénologie. Les femelles volent du printemps à l'été, avec un pic d'activité en mai. Les mâles volent de juillet à septembre.
HOTES. Trois hôtes confirmés : Andrena barbilabris selon Alfken (1913) et Witt (1992) qui décrit la biologie de l’hôte et de son parasite ; Andrena nycthemera selon Schönitzer & Klinksik (1990) ; Lasioglossum leucozonium selon Sick et al. (1994). D’autres hôtes possibles ont été signalés dans la littérature et listés par Bogusch & Straka (2012) : Andrena argentata, A. bicolor, A. humilis, A. ventralis et A. wilkella.
STATUT. Commun.